Comme la plus part des villes, Toulouse n’échappe pas plus que ses sœurs aux assauts de vandales qui visent à recouvrir ce terne béton grisâtre et monotone de vives tonalités colorés.
Hormis la référence douteuse à ce fameux soft-porn destiné à nos chers ados comme aux ménagères en manques de sensations fortes, le but est ici de parler d’Amour platonique et de nuances locales uniquement…
Il n’est donc point question de cette amour charnel et subtil qui consiste à menotter et titiller son/sa/ses partenaire(s) avec de quelconques objets contondants quand ceci peut s’avérer récréatif ou nécessaire… Mais plutôt de celui qui brave les interdits moraux, parfois les objets contondants aussi, pour exprimer sa créativité ou simplement dénoncer les graaands troubles de nos sociétés.
Pour le pire et pour le meilleur évidement, tels des éclats de feux d’artifices de peinture étalés sur les murs, créés par des apprentis dealers de pilules bleues.